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« Quand la conscience se passe de cerveau »

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« Quand la conscience se passe de cerveau » Empty « Quand la conscience se passe de cerveau »

Message  Projectarea54 Lun 01 Juin 2009, 22:55



« Quand la conscience se passe de cerveau »



Parmi les nombreuses études réalisées

sur les EMI, celle du cardiologue néerlandais Pim van Lommel menée

sur plus de trois cent patients bouleverse définitivement notre conception d’une conscience localisée dans le cerveau. Désormais, il faut la chercher ailleurs…



Les recherches scientifiques sur les expériences de mort imminente ont commencé à la fin des années 70, avec la création de l’International Association for Near-Death Studies (IANDS1) aux États-Unis, par le professeur Kenneth Ring. La pu­blication du livre de Raymond Moody La Vie après la vie et les présentations des premiers travaux d’Eli­sabeth Kübler-Ross, dont sa conférence à San Diego en 1977 « There is no death2 » (La mort n’existe pas), ont également stimulé la mise en place des premières études scientifiques sur les EMI. Depuis, de nombreux chercheurs de renom, appartenant à différentes disciplines (psychiatrie, psychologie, pharmacologie, neurologie et neurophysiologie), étudient ce phénomène et ses implications.

La méthodologie des recherches scientifiques sur les EMI consiste à recueillir les témoignages sur une population ciblée, par exemple tous les ma­lades d’un hôpital, et selon un protocole standar­disé, puis de les traiter sur un plan qualitatif et statistique. À ce jour, trois études prospectives et scientifiques viennent d’être réalisées par des cardiologues aux Pays-Bas, aux États-Unis et en Grande-Bretagne3. Ainsi commence un nouveau type de recherches sur les EMI lors d’accidents car­diaques. Toutefois, seule l’étude néerlandaise4 du professeur Pim van Lommel analyse en profondeur les statistiques sur les facteurs susceptibles d’en­traîner une expérience de mort imminente. Cette étude, comme celle du docteur Sam Parnia pour la Grande-Bretagne et de Greyson pour les États-Unis, remet en cause les conceptions établies sur la nature de la conscience et le fonctionnement du cerveau.

Dans la lignée du courant matérialiste de la biologie représenté notamment par Jean-Pierre Changeux et son Homme neuronal, plusieurs théories ont été proposées comme explication sur les expériences de mort imminente. Certains scientifiques, comme la psychologue britannique Susan Blackmore, pen­sent que l’expérience de mort imminente est pro­voquée par des changements physiologiques dans le cerveau liés à la mort de certaines cellules par manque d’oxygène. C’est ce qu’on appelle l’anoxie cérébrale qui pourrait être due à l’émission d’en­dorphines ou à un blocage des récepteurs NMDA5. D’autres théories parlent de réactions psychologi­ques face à la mort imminente. Selon cette hypo­thèse, l’EMI serait causée par la peur de la mort précédant l’arrêt cardiaque. On évoque parfois une combinaison de la réaction psychologique et de l’anoxie cérébrale.

Toutefois, jusqu’à récemment, il n’y avait pas d’étu­des scientifiques et prospectives conçues pour ten­ter d’expliquer les causes et le contenu d’une EMI. Les études menées étaient souvent rétrospectives, et il pouvait s’être passé parfois plusieurs années entre la survenue de l’EMI et son étude, ce qui est un frein pour la bonne évaluation des données pharmacologiques, médicales et psychologiques.





L’enquête qui dérange

En 1988, le professeur Pim van Lommel et son équipe ont lancé une vaste étude prospective sur 344 survivants d’arrêts cardiaques afin d’étudier la fréquence, la cause et le contenu des EMI. Elle a été entreprise dans dix hôpitaux néerlandais, avec l’accord de chaque patient et du comité d’éthique. Un contrôle strict des données médicales, phar­macologiques, psychologiques et démographiques a été réalisé. Des comparaisons ont été faites avec un groupe témoin ayant subi un arrêt cardiaque sans EMI. Les interviews ont eu lieu quelques jours après la réanimation, dès que l’état du malade le permettait. De plus, une nouvelle étude longitu­dinale à deux et huit ans à été réalisée avec deux nouvelles séries d’interviews afin d’observer les modifications survenues dans la vie de chacun de ces patients.

Pim van Lommel explique : « Une EMI est le souve­nir d’impressions éprouvées lors d’un état modifié de conscience. Elle inclue notamment des éléments spécifiques comme des expériences de décorpora­tion, des sensations de bien-être, la vision d’un tun­nel, d’une lumière, de proches décédés ainsi qu’un défilement de sa propre vie. Dans notre étude, 62 personnes, soit 18 % sur les 344 patients réanimés, ont rapporté avoir vécu une EMI avec les éléments classiques décrits ci-dessus. »

Un court questionnaire soumis à chaque patient permet d’en faire la répartition suivante :



• 21 patients, soit 6 %, ont eu une EMI superficielle

• 18 patients, soit 5 %, ont eu une EMI peu profonde

• 17 patients, soit 5 %, ont eu une EMI profonde

• 6 patients, soit 2 %, ont eu une EMI très profonde



Nous avons donc 282 personnes, soit 82 % des pa­tients, qui n’ont aucun souvenir du moment de leur mort clinique. En revanche, 62 patients, soit 18 %, ont indiqué avoir un souvenir de cette période d’arrêt cardiaque et de mort clinique. Et sur ces 62 patients 41, soit 12 % du groupe étudié, ont eu des EMI intenses allant de « peu profonde » à « très profonde ».

Voici selon quels critères cette « intensité » a été évaluée :



• Conscience d’être mort pour 50 %

• Émotions positives pour 56 %

• Expérience hors du corps pour 24 %

• Déplacement dans un tunnel pour 31 %

• Communication avec « la lumière » pour 23 %

• Observation de couleur pour 23 %

• Observation de « paysages célestes » pour 29 %

• Rencontre avec des proches décédés pour 32 %

• Revue de la vie pour 13 %

• Présence d’une frontière pour 8 %



Aucune différence entre les patients ayant ex­périmenté une EMI et les autres ne se dégage de l’étude. Aucun facteur tel que la durée de l’arrêt cardiaque, celle de la période d’inconscience, ou l’intubation du patient lors de réanimations complexes, ou encore l’arrêt cardiaque stimulé de manière électrophysiologique (EPS) n’est dé­terminant d’une EMI. Il n’a pas été établi non plus de liens avec l’absorption de médicaments ou de drogues ou de facteurs psychologiques comme la peur de la mort avant l’arrêt cardiaque. Aucun critère démographique comme l’éduca­tion, le sexe ou la religion du patient n’a pu être mis en évidence.



Selon cette étude, la fréquence d’apparition des EMI est plus élevée chez les personnes de moins de 60 ans que chez les plus âgées (âge moyen des per­sonnes de l’étude : 62,2 ans, allant de 26 à 92 ans). D’autres études le confirment. Melvin Morse a même évalué à 85 % le nombre d’EMI sur un panel d’enfants6. Une bonne mémoire semble être un élé­ment essentiel pour se souvenir d’une EMI, et les réanimations cardio-respiratoires difficiles suite à un arrêt cardiaque sont mieux supportées par les personnes plus jeunes qui retrouvent plus facile­ment leurs facultés cérébrales.

Parmi les expérienceurs d’EMI, le taux de morta­lité à la sortie de l’hôpital est plus important et augmente en fonction de la profondeur de l’expé­rience. Comme le rappelle Marc-Alain Descamps dans son article dans La Revue des EMI d’avril 20067, « ce fait d’une mortalité plus importante dans le groupe des sujets EMI nous conforte alors dans l’expression de « mort imminente » ou de danger de mort, car les EMI n’ont lieu que lorsque la vie est en danger. Et les récits de voyages similaires en toutes autres circonstances sont d’un autre ordre et ne doivent pas être confondus ».

Transformés pour la vie

L’étude longitudinale à deux et huit ans a permis d’étudier à plus long terme toutes les personnes ayant survécu à un arrêt cardiaque, avec et sans EMI. Selon cette étude, seuls les patients ayant expé­rimenté une EMI ont présenté des transformations durables quant à leur attitude face à la vie. On a remarqué notamment la disparition de la peur de la mort et une plus grande intuition chez ces patients.

Les résultats de l’étude néerlandaise nous montrent clairement que les facteurs médicaux, psychologi­ques, physiologiques ou pharmacologiques proposés comme théories pour expliquer les EMI ne sont pas susceptibles d’avoir influencer celles-ci.

Pim van Lommel le confirme dans les conclusions de son étude : « Nous n’avons pas été en mesure de trouver un seul facteur médical susceptible d’avoir provoqué les expériences de mort imminente durant l’arrêt cardiaque et la mort clinique des patients ».

De même Greyson, dans l’étude américaine, écrit que l’on ne peut trouver un seul modèle de facteur psychologique ou physiologique capable d’expliquer toutes les caractéristiques communes d’une EMI.

Le docteur Sam Parnia, auteur de l’étude du Royaume-Uni en 2001, parvient aux mêmes conclusions. Il précise que les EMI se produisent au cours de la période d’inconscience du patient et que certains semblent avoir obtenu des « infor­mations inexplicables » sur leur environnement durant cette période. Ceci suggérerait qu’une par­tie de la conscience humaine soit capable de se du corps et d’obtenir des informations à distance. Cette étude, publiée dans la revue médi­cale de réanimation Ressuscitation (terme anglais pour réanimation), conclut également à la néces­sité de poursuivre sur une plus grande échelle les recherches sur les EMI.


Dernière édition par Projectarea54 le Lun 01 Juin 2009, 22:58, édité 1 fois
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Message  Projectarea54 Lun 01 Juin 2009, 22:57



Comment concilier EMI et EEG plat ?

Les conclusions communes aux trois études prospec­tives chez les survivants à un arrêt cardiaque sont le suivantes : absence d’explications physiologiques ou psychologiques pour expliquer les EMI ; les EMI ont lieu pendant la période d’inconscience lors de l’arrêt cardiaque ; perte complète des fonctions cérébrales, conduisant les chercheurs de ces études à discuter et à remettre en cause le concept établi jusqu’à présent, mais jamais prouvé scientifiquement, selon lequel la conscience et la mémoire sont produites par et loca­lisées dans le cerveau.

« Au cours d’une EMI, déclare Pim van Lommel6, la conscience est accrue et est ressentie indépendam­ment de la conscience vigile normale qui est liée au corps. Comment un patient en état de mort clini­que peut-il expérimenter une conscience claire en dehors de son corps au moment où son cerveau ne fonctionne plus et affiche des EEG plats ?

Cette situation paradoxale d’une conscience lucide, et même renforcée avec des processus de pensée logique, au cours d’une période où l’irrigation du cerveau est entravée, pose des questions tout à fait particulières quant à notre connaissance actuelle de la conscience et de son lien avec les fonctions cérébrales.

En outre, même des aveugles de naissance ont décrit de réelles perceptions visuelles durant des expériences de décorporation lors d’EMI. Les étu­des scientifiques sur les expériences de mort

imminente nous conduisent aux limites de nos notions médicales et neurophysiologiques sur la conscience humaine et ses liens avec le cerveau ».

« Une conscience claire et des processus de per­ception complexes au cours d’une période de mort clinique remettent en cause la notion ad­mise jusqu’à présent, mais jamais prouvée, selon laquelle la conscience est localisée exclusive­ment dans le cerveau, poursuit Pim van Lommel. Comment peut-on expérimenter une conscience hors de son corps au moment où le cerveau ne fonctionne plus, lors d’une mort clinique avec un électroencéphalogramme plat. » ?





Durant l’étude hollandaise, une infirmière de l’unité de soins coronaires a écrit le rapport suivant : « Pendant la nuit, une ambulance a amené un homme de 44 ans cyanosé et dans le coma. Il avait été trouvé trente minutes auparavant dans le coma sur le bord de la route, après un accident. Lorsqu’on a voulu l’intuber, il a fallu lui prélever son dentier que j’ai mis sur le chariot. Nous avons fait un massage cardiaque et utilisé la défibrillation. Au bout d’une heure et demie, le patient avait récupéré un rythme cardiaque et une pression artérielle suffisants, mais il était toujours dans le coma et sous intubation. On l’a donc transporté à l’unité de soins intensifs pour poursuivre la respiration artificielle.

Une semaine après sa sortie du coma, je l’ai rencontré à nouveau. Il était dans l’unité de cardiologie et dès

qu’il m’a vue, il m’a reconnue et s’est écrié : « Ah ! Cette infirmière, elle sait où est mon dentier ! » Il avait tout vu et il m’a expliqué : « Vous étiez là quand on m’a amené à l’hôpital et c’est vous qui avez pris mon dentier,

et l’avez mis sur ce chariot où il y avait toutes ces bouteilles. Et il y avait même un tiroir en dessous et vous avez mis mon dentier dans ce tiroir ! ».

Alors là, j’étais toute surprise, car tout cela c’était produit lorsque ce patient était dans un coma profond et qu’il était en cours de réanimation.

Il semblerait qu’il se soit vu d’au-dessus, allongé sur son lit avec les médecins et le personnel infirmier autour de lui en train de le réanimer.

Il a pu décrire avec précisions, et très justement,

la petite salle de réanimation ainsi que toutes

les personnes présentes à ce moment-là.

Il était très frappé par son expérience et il m’a

dit qu’il n’avait plus du tout peur de la mort. »




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Message  Projectarea54 Lun 01 Juin 2009, 23:01

Ni temps, ni espace

Au cours de ces expériences, les patients voient leur vie entière défiler en un clin d’oeil, ainsi que les personnes qui y ont joué un rôle : « Je voyais non seulement ce que j’avais fait ou pensé, mais aussi la manière dont mes actes avaient influencé les autres ». Il n’y a ni temps, ni espace, ils se re­trouvent immédiatement là où ils désirent être : « J’étais partout en même temps et parfois, il suf­fisait que mon attention soit attirée par un en­droit pour que je m’y retrouve aussitôt ». « C’est la non localité, nous explique Pim van Lommel. Le temps et la distance semblent avoir disparu. Certains peuvent ressentir une forme de préco­gnition, voir des images de leur futur et de l’ave­nir. Encore une fois, il semble qu’il n’y ait plus ni de temps, ni d’espace durant cette précognition. Souvent, on rencontre durant les EMI des per­sonnes décédées, et parfois des inconnus parmi elles. Je vous cite le témoignage d’un patient : “Au cours de mon arrêt cardiaque, j’ai eu une ex­périence prolongée où j’ai vu ma grand-mère dé­cédée ainsi qu’un homme qui me regardait avec amour. Mais je ne le connaissais pas. Plus de dix ans après, j’étais au chevet de ma mère mourante et elle m’a avoué que j’étais né d’une aventure hors mariage. Elle m’a alors montré la photo de mon père, et cet homme, cet inconnu que j’avais vu deux ans auparavant durant mon EMI était en fait mon père biologique”. »



Retour par la tête

C’est par le sommet du crâne, le plus souvent, que les patients décri­vent leur retour dans leur corps physique après avoir compris que le mo­ment n’était pas encore venu, ou qu’ils avaient encore une tâche à ac­complir. L’ensemble des sujets de l’étude néerlan­daise qui ont expérimenté une EMI, déclarent ne plus avoir peur de la mort.

« Cela vient du fait, pour­suit Pim van Lommel, qu’ils se rendent compte que la conscience conti­nue. Qu’ils conservent toutes les pensées et le souvenir des événements passés même une fois qu’ils ont été déclarés morts par les médecins. Vous êtes séparé d’un corps sans vie, mais vous conservez votre identité, et vous avez une cons­cience claire avec une capacité à percevoir les choses ».

Il semblerait que l’être humain soit plus qu’un corps, sinon comment ex­pliquer tous ces témoignages, comme celui du « dentier », au moment de la perte de toutes les fonctions cérébrales provoquée par la cessation complète de l’irrigation du cerveau ?



Conclusion inévitable de l’étude de Pim van Lom­mel : il y a une continuité de la conscience, car elle peut être expérimentée in­dépendamment de la fonc­tion cérébrale durant les expériences de mort im­minente. « La conscience va continuer d’exister dans une autre dimension après la mort clinique, affirme-t-il, dans un monde invisible et immatériel, l’espace de phases, dans lequel tout – passé, présent et futur – est englobé. Ces champs de conscience sont stockés dans cette dimension sans temps ni espace, avec une interconnexion non locale et universelle. On pour­rait appeler cela notre conscience supérieur, di­vine ou même cosmique »

Et de conclure : « À la fin, à la mort définitive du corps, lorsqu’il ne reste plus que de la ma­tière morte, nous pour­rons être en contact avec cette partie éternelle et indestructible de la cons­cience cosmique. Tout ce que vous avez, tout ce que vous possédez se décompose, mais tout ce que vous êtes peut continuer à vivre au-delà du temps et de l’espace. »



Pierre-Alain Grevet



Source NEXUS n° 46
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