Reve du 1er Décembre 2006 "Loto,restos et envie pressantes"

Bonjour Smooki ! (projectarea54)


C'est ce que tu as dit par rapport aux légo et aux enfants qui m'a probablement le plus parlé. Cela m'a tout de suite rappelé mon rêve, du coup j'ai repris mes recherches et je suis tombée sur un commentaire à propos d'une "lecture" d'Edgar Cayce "quand le sphinx rugira...."
Dans mon rêve, le shinx lors de sa dernière transformation ouvre sa gueulqe démesurément, d'une forme ui n'est pas sans rappeler un terrible rugissement !

Ce texte m'a beaucoup marqué, enfin son analyse surtout, parce que je n'ai pas eu l'occasion encore de lire d'ouvrages consacrés aux "lectures" de Cayce.
Si tu veux consulter le texte en question: http://artchives.samsara-fr.com/Enigme-atl/quand.htm


Voici le rêve dont je parlais:




Je ne me souviens pas de tous les détails.
Dans ce rêve, c'est comme si j'étais dans un jeu de rôle.

Je descends dans une crypte. En fait j'ai le sentiment de ne pas avoir le choix, je dois descendre là en bas parce que cela fait partie des passages obligés du jeu.

Donc je descends des escaliers en prenant ceux de gauches (ce sont des escaliers doubles). Sur l'un des seuils, il y a dans le mur, une sorte d'alcôve: c'est aussi un passage. Mais une grille en fer forgé empêche l'entrée. Pourtant on peut observer que cela donne sur un abysse très profond; une sorte de puits. Brrrr.... frisson !

Je rejoins la vaste crypte par l'escalier donc. Elle est claire de l'endroit ou je suis, mais obscure devant et derrière aussi, au fur et à mesure que j'avance. Il y a une présence là.... quelque-chose ou plutôt quelqu'un qui cherche à me terroriser. Mais je rassemble mon courage et mes forces, je veux relever le défi et refuse de fuir comme un poltron. Et cette assurance en moi qui grandit et comme la lumière d'une bougie qui cesse de vaciller et s'étire en hauteur pour éclairer un peu plus.
Là en bas, ça sent mauvais: ça put d'une mauvaise odeur occulte.
Il y a des rideaux pourpres, des boiseries somptueuses et chaque pas résonne comme dans une église sur les dalles de marbres. Tout ceci est précieux. Mais l'ambiance est surchargées d'une odeur de suif, cette odeur typique de lampes à huile mélangée à l'encens. C'est lourd... très lourd. L'obscurité à comparer et comme une fraîcheur sous les pieds, sur la peau, c'est un souffle rafraîchissant sur le visage. Tandis que l'air lui est saturé.
J'ai trouvé l'indice que je cherchais.... pourtant j'ai oublié.... (à cet instant ou j'écris).

Je remonte et je me contiens pour ne pas dévaler les escaliers en courant. La présence qui cherche à me terrifier, je la tiens en respect et à distance tant qu'en moi le calme et la sérénité, imperturbable, et maintenue juste, droite et ferme.... fixée.... c'est l'appui solide sous mes pieds.

Je rejoins un vaste jardin. De là ou je suis, je peux voir tout le jardin et au de-là même. Je vois le ciel au loin. Il revêt l'aspect du couchant.... pourtant le soleil se lève, c'est bientôt le matin.

Il y a une plate-forme au milieu, une sorte d'ère de jeux pour enfants. Une petite fille joue là. Tandis que je la regarde jouer, je remarque qu'à coté de moi, sur ma droite, il y a une jeune femme. Elle est fraîche et naïve, c'est tout du moins ce que sa présence dégage. Je ne la regarde pas en face pourtant, je ne vois pas son visage. Je continue à observer l'enfant jouer.

Puis subitement, je vois devant l'enfant une forme émerger. Une sculpture en gré couleur craie. Mais non pas couleur craie... la craie est blanche est lumineuse. Cette couleur-là est morbide comme la couleur de la cire.... c'est un blanc qui absorbe la lumière au lieu de la refléter.
C'est un sphinx. Son regard n'est pas terrifiant mais il met mal à l'aise.... impénétrable évidemment. Et puis son apparence est changeante, elle se transforme continuellement, c'est probablement la raison pour laquelle il est si difficile d'interpréter ses expressions faciales. Seules ses pattes restent inchangées, profondément ancrées, appuyées sur le sol.

Je donne un coup de coude dans les côtes de la jeune femme: "Tu as vu ce qui apparaît-là juste devant l'enfant ?"
Elle répond: " Quoi ? Ou ça ?"
Je lui montre: "Mais là.... LAAAA.... tu ne vois pas ????"

Elle ne remarque toujours rien.

Et moi j'observe quelques autres personnes qui sont elles aussi dans le jardin et qui semblent ne rien remarquer.
Je suis déstabilisée.... seule... seule devant le spectacle de la mutation de cette sculpture "vivante" (?). Seule à voir une chose que personne ne semblent voir à part moi.

La sculpture cireuse dans sa lividité morbide, fait sous mes yeux sa dernière transformation. Sa gueule s'ouvre... s'ouvre démesurément et de forme grotesque grimace à tel point que sa mâchoire inférieure s'allonge comme une ombre sur le sol.


Je me lève et fuse comme un coup de fusil et tout en me rapprochant ordonne à l'enfant : "Sors de là..... vite... très vite.... ne reste pas ici !" La petite fille descend de son jeu et s'exécute sans discuter.

Le sphinx disparaît. Mais juste derrière de là ou il était placé, une planche en bois à moitié ensevelie sort du sol. Je la retire et m'apprête à découvrir son message secret. Mais au lieu de cela, c'est un dessin d'enfant qui apparaît, avec des choses écrites que je n'arrive pas à lire.


Voilà voilou.... fin du rêve.
Si tu souhaites faire un commentaire, une analyse, tu as toute mon attention parce que ce n'est jamais de trop un indice, une piste suplémentaire !


@mitié !

jean-marc a écrit:Ouff! hé bien , je suis heureux de ne pas rêver .
Dans l'ufologie il y a des dangers , je peus voir sur plusieurs forums des gens qui ont complettement changer , ils ne sont plus les même .
Je pourais nommer des noms , ils y en a qui sont de très bon copain ou copine , eux ne vois pas le changement dangereux qui se pratique sur eux , mais lorsque nous sommes a côté comme spectateur , nous voyons cette réalitée , Pascal n'a pas arrêter de faire de l'ufologie pour rien , il faut embarquer dans le phénomène mais pas plus .