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Méthode de développement des facultés supra-normales

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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 19:56

PRÉFACE

La méthode décrite dans ces pages n’est pas, comme
certains critiques de la première édition l’ont prétendu, le
produit de conceptions théoriques plus ou moins réalisables
destinées à provoquer la clairvoyance chez les lecteurs
soucieux de l’expérimenter. Elle est, au contraire,
essentiellement positive, puisqu’elle est la conclusion de
quelques milliers d’expériences entreprises durant une
vingtaine d’années sur un nombre considérable de sujets de
toute sorte. Les moyens indiqués sont la conséquence de
multiples observations, et ceux qui les ont appliqués ont
obtenu des résultats remarquablement concordants avec les
miens.


D’autres personnes ont regretté que la méthode nécessite
un instructeur et ne donne pas les moyens de développer la
clairvoyance par soi-même. Cela n’est pas à souhaiter.
Certaines faces orientales, il est vrai, obtiennent la vision
subjective par un entraînement personnel, mais cela résulte
d’une faculté innée, plutôt rare dans les races occidentales. Un
développement sans instructeur risque de rendre le cerveau
réceptif à des courants mauvais et déséquilibrés, qui
déterminent les illusions trompeuses accompagnées de
troubles nerveux susceptibles de devenir très graves ; tandis
que ce danger disparaît avec l’instructeur, pourvu qu’il soit
soucieux de conduire les images avec logique et régularité,
d’éviter les questions décousues, ainsi que tout ce qui peut
occasionner une fatigue ou un état pénible, et de provoquer
chez le sujet des états d’équilibre et de calme de plus en plus
complets. Non seulement le développement normal ne
provoque aucun trouble, mais au contraire, il perfectionne
l’état physique et moral du sujet et assure même sa guérison
ou l’atténuation de son mal lorsqu’il est souffrant.


Enfin cette méthode ne doit nullement ses succès à mon
action personnelle, comme on l’a également prétendu. Elle
dépend évidemment des aptitudes du sujet, mais elle est
efficace avec tout instructeur, pourvu qu’il en applique
soigneusement les règles. Elle est comparable à une méthode
de dessin ou de musique, dont l’application dépend de l’élève
et du professeur, mais qui donne toujours des résultats. Elle
s’exerce mal avec les personnes frustes, mal cultivées ou
versatiles. Par contre, elle produit des effets remarquables avec
les personnes évoluées, surtout avec celles qui savent garder
une sérénité constante ou qui possèdent un désir sincère
d’élévation morale ; en définitive, elle apporte à tous, avec plus
ou moins de puissance, des états subjectifs nouveaux et
supérieurs, car elle est une véritable culture psychomentale.

Fin premiere partie
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:07

Méthode de développement
des facultés supra-normales

La connaissance du monde extérieur nous est donnée par
nos sens, mais ceux-ci sont extrêmement bornés. Nous ne
pouvons entendre ou voir une personne qu’à la condition
d’être à proximité d’elle, et nous ne pouvons échanger nos
idées avec elle que par l’intermédiaire de mots qui varient d’un
peuple à l’autre et qui, le plus souvent, trahissent,
volontairement ou non, notre pensée.


Cependant la science a pu, dans une certaine mesure,
étendre nos sens : le microscope et le télescope ont agrandi le
champ de notre vision dans l’infiniment petit comme dans
l’infiniment grand ; le téléphone a supprimé pour l’audition la
nécessité de la courte distance et la télévision transmet les
images à distance. En outre la science nous a laissé entrevoir
l’existence d’innombrables modes vibratoires, dont une
infinitésimale partie seulement est perceptible. En effet, notre
oreille n’enregistre que les vibrations de 32 à 33 000, notre oeil
ne perçoit que celles comprises entre les 450 trillions de la
lumière rouge et les 750 trillions de la lumière violette ; de sorte
qu’en intercalant même les vibrations de l’électricité et de la
chaleur, on se trouve encore en présence de lacunes qui défient
l’imagination. Ces lacunes correspondent-elles à des
vibrations réellement émises dans l’univers, ou, au contraire,


ne sont-elles que la conséquence d’un néant, d’une
discontinuité absolue dans la succession vibratoire ? Cette
dernière hypothèse n’est compatible, ni avec les lois de la
nature, qui ne procède que par transitions, ni avec les
acquisitions de la science qui nous découvre l’existence de
vibrations nouvelles, à mesure qu’elle progresse, et il nous faut
conclure que, selon toute probabilité, il existe d’innombrables
centres vibratoires qui échappent à notre conscience, et dont la
perception nous donnerait la connaissance de mondes
insoupçonnables.


Faut-il admettre que nous ne connaîtrons ces mondes
inconnus que par les lents progrès de la science ? Ne pouvonsnous
suffisamment affiner nos perceptions actuelles pour
étendre nos investigations ? Ne pouvons-nous acquérir des
sens nouveaux et accroître indéfiniment le champ de notre
conscience ? Cette question se résout immédiatement par
l’affirmative, si l’on admet l’existence des phénomènes supranormaux
qu’on trouve relatés dans les écrits anciens et chez
certains auteurs modernes : comme la double vue, la
télépathie, le sommeil somnambulique. Mais ces phénomènes,
dont nous allons cependant démontrer l’existence par la suite,
sont discrédités ; c’est pourquoi, ils ne font pas partie de
l’enseignement officiel et ne sont pas étudiés par le monde
savant. Deux raisons expliquent ce discrédit.

Des observations contradictoires

La première s’appuie sur le caractère chaotique et
contradictoire des observations qui ont été faites sur ce genre
de phénomènes, sur ce que lui-même manifeste une variété et
une spontanéité qui le rendent insaisissable ; enfin sur ce que

les professionnels du somnambulisme plus ou moins lucide se
préoccupent beaucoup plus de leurs intérêts lucratifs que de
ceux de la science et ne craignent pas, certains du moins, de
suppléer à leur faculté nécessairement capricieuse par du
charlatanisme.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:12

Et des idées préconçues

La seconde raison se base sur les idées préconçues que
nous professons en général à l’égard du psychisme. L’étude
des questions psychiques commence à peine ; jusqu’à ce jour
leur solution nous a été donnée par les religions, les
philosophies, les doctrines diverses et chacun de nous s’est
rallié au système le plus conforme à son tempérament. Nous
pouvons être négateur ou croyant, sceptique ou crédule,
matérialiste ou spiritualiste, peu importe ; nous ne pouvons
nous empêcher d’établir, à l’égard des destinées de l’âme, un
édifice métaphysique, qui a ses fondations dans le plus
profond de nous-mêmes et que nous rattachons au système
religieux ou philosophique auquel il s’adapte le mieux. Nous
devenons alors irréductibles, et dans les discussions, nous
nous heurtons ou nous nous accordons avec notre
interlocuteur dans la mesure où ses idées psychiques
s’éloignent ou se rapprochent des nôtres. Si nos croyances ne
sont pas en affinité avec les siennes, l’entente devient
impossible, puisqu’elle nécessiterait le renversement d’une
conviction dont les racines sont au plus intime de notre être, et
qui s’est affirmée à chaque effort de notre pensée. Prenons, par
exemple, la croyance aux vies successives : la religion
bouddhique et la doctrine théosophique l’admettent, la
religion catholique et la doctrine gnostique la rejettent, les
scientifiques modernes lui opposent celle de l’hérédité. Il est

certain que catholique, gnostique et savant, d’une part,
bouddhiste, théosophe et spirite, d’autre part, ne pourront
aborder cette question sans se heurter ; ils pourront échanger
avec plus ou moins de subtilité de nombreux arguments, ils ne
s’entendront pas. De même, la télépathie, la voyance et autres
phénomènes psychiques déterminent immédiatement chez
celui qui en entend parler une opinion arrêtée, hostile ou non,
parce qu’ils touchent aux destinées de l’âme et ébranlent notre
édifice métaphysique. C’est pourquoi les publications, quoique
nombreuses, qui sont faites à leur sujet, n’aboutissent, la
plupart du temps, qu’à des discussions stériles.

Il faut adopter une attitude scientifique

Si donc on veut s’éclairer sur la valeur de ces phénomènes,
il faut écarter toute forme religieuse ou philosophique et les
examiner d’une manière positive, c’est-à-dire les étudier par les
méthodes scientifiques. Mais ces méthodes ne consistent
nullement à se perdre en discussions plus ou moins logiques ;
procéder ainsi n’est pas faire oeuvre de science, mais oeuvre
littéraire ou philosophique. La science nécessite tout au moins
le processus suivant : l
’observation, c’est-à-dire la mise en
lumière de faits évidents ; l
’expérimentation, c’est-à-dire la
production voulue des mêmes faits dans des conditions
variées qui permettent d’en étudier les filiations et les à-côtés ;
la
création d’instruments de mesure, sans lesquels il ne serait pas
possible de préciser le phénomène et d’en fixer l’allure ;
l
’établissement des lois vérifiables par tous ; enfin, la présentation au
public d’hypothèses fécondes


susceptibles non seulement d’expliquer le phénomène, mais encore de faire apparaître des
faits nouveaux.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:17

Commencer par la sensation élémentaire

Pour remplir ces diverses conditions, il faut entreprendre
l’étude des phénomènes psychiques par le commencement,
c’est-à-dire par la sensation élémentaire, telle que celle qui
résulte d’une faible lumière ou d’un son à peine perceptible.
Cette étude existe déjà ; commencée depuis le siècle dernier,
elle a engendré une science peu connue, appelée la
Psychophysique. On lui doit un certain nombre de lois ; en
particulier celle qui relie la sensation à l’excitant, et celle qui
précise le fonctionnement des mémoires. Elle a fait connaître le
jeu des contrastes et des rythmes. Elle a permis d’expliquer
certaines illusions, d’éclairer notre mécanique naturelle, de
comprendre le rôle des nombres dits mystiques dans l’univers,
d’établir une esthétique rationnelle, bref de résoudre
rationnellement et d’expliquer rigoureusement un certain
nombre de problèmes psychiques. Je n’insisterai pas sur cette
science, d’ailleurs très aride, dont l’exposé nécessiterait un
grand nombre de séances et dont les principaux éléments se
trouvent dans les ouvrages de Charles Henry, tels que
le Cercle
Chromatique, le Rapporteur esthétique,
etc. J’aborderai seulement
la partie de cette science, qui fait l’objet de la présente étude, à
savoir le Développement des Facultés supra-normales, et qui
concerne l’Imagination.

Une méthode valable pour tout le monde


L’Imagination est un mot dont nous comprenons tout le
sens ; nous savons qu’il correspond à un phénomène subjectif
auquel nous sommes tous soumis, mais dont nous ne
soupçonnons généralement pas toute la portée. L’importance
de l’Imagination provient de ce qu’elle contient en germe les
facultés psychiques supérieures. Il m’a suffi effectivement de
m’appuyer sur quelques-uns de ses principes pour établir une
méthode susceptible de faire apparaître chez toute personne,
même d’évolution moyenne, le sens de la double vue, la vision
du passé et la prémonition, la perception de sensations
nouvelles et la connaissance progressive des mondes
invisibles ; toutes ces facultés étant obtenues, sans action
magnétique ni fluidique, sans disparition de la conscience
normale et dans un temps très rapide, puisque leurs premières
manifestations apparaissent en moins d’une demi-heure et
sont suivies d’un progrès continu.

Qu’est-ce que l’Imagination ?

Pour comprendre comment cela est possible, nous allons
analyser le phénomène de l’Imagination. L’imagination peut
se définir comme étant la faculté de percevoir intérieurement
des images ; mais qu’est-ce que l’image ? C’est le rappel d’une
impression provoquée, soit par un objet, soit par une réunion
d’objets, soit par toute scène ayant un caractère d’unité ou de
cohésion, autrement dit, c’est le souvenir d’un groupe de
sensations élémentaires. Généralement, on applique le mot «
image » simplement à la sensation visuelle, mais en
psychophysique, pour simplifier, on l’étend aux autres
sensations et on considère aussi bien des « images auditives,
olfactives, tactiles, gustatives ».


Nous croyons, en général que les images peuvent passer
dans notre cerveau en ne laissant aucune trace visible au
dehors. Le contraire a été démontré. On a constaté que nous ne
pouvons nous représenter, même la plus faible des images,
comme celle de la lettre
, sans qu’il y ait production d’un
mouvement, lequel consiste, en ce cas particulier, dans un
déplacement de la langue. C’est dire, en d’autres termes, que
toute vision interne est accompagnée d’une émission d’énergie
et se traduit finalement, par un mode vibratoire c’est-à-dire par
une propagation indéfinie.

La pensée émet une aura

Dans un ouvrage intitulé :
les Formes pensées, Annie Besant
et Leadbeater, procédant par la vision interne, constatent que
toute pensée est accompagnée de la projection dans l’espace
d’une sorte d’amas fluidique coloré, invisible à nos yeux
physiques, mais perceptible dans un état spécial qu’on appelle
voyance ou clairvoyance. Cet amas fluidique présente un
contour vague quand la pensée est imprécise, net, au contraire,
quand elle est bien définie ; il manifeste, en outre, une
coloration, dont la nuance dépend du genre d’émotion qui
accompagne la pensée, et dont la luminosité et la pureté sont
corrélatives de sa qualité. Ce flocon fluidique peut être projeté
dans une direction définie et atteindre une personne
déterminée, ou se répandre dans l’espace sans but précis,
auquel cas il se groupe avec d’autres flocons par affinité. Dans
un autre ouvrage intitulé :
l’Homme invisible, Leadbeater
observe que toute personne est enveloppée d’une atmosphère
lumineuse appelée « aura » et qui rappelle, mais avec plus de
complexité, le spectre et ses raies. C’est dans le sein de cette
aura que se forment les flocons fluidiques, sous l’effet du
travail émotionnel de la pensée. Faibles et légers lorsque
l’esprit est calme, ils sont, au contraire, engendrés par des
mouvements tourbillonnaires rapides et projetés au loin avec
force lorsque l’âme est agitée par des passions violentes. Ils ne
sont jamais perdus pour celui qui les a émis puisque les
expériences faites sur les sujets en état d’hypnose établissent
qu’on peut toujours retrouver une impression ressentie à un
moment quelconque de la vie.

Un exemple troublant

Les images ainsi projetées ont une propagation indéfinie,
et de ce fait atteignent tous les êtres, mais ceux-ci ne peuvent
en prendre conscience que si leur état vibratoire s’accorde avec
celui de l’image ; ce cas peut se présenter incidemment, comme
le montre un grand nombre d’observations relatées par
différents auteurs et, en particulier, par la Société des
Recherches psychiques de Londres. Il a été établi que certaines
morts ont coïncidé exactement avec la production, chez des
personnes éloignées, de la vision du mourant ou d’une autre
hallucination. Tel est le cas, par exemple, rapporté par
Flammarion dans
l’Inconnu et les Problèmes psychiques, de cette
société réunie chez un notaire et attendant pour déjeuner le
retour de ce dernier parti à la chasse. Tous virent la fenêtre de
la salle à manger, alors ouverte, se fermer subitement et se
rouvrir de même. La femme du notaire eut un pressentiment
fâcheux et justifié, car au même moment son mari était tué par
accident. Le mouvement de la fenêtre, bien que constaté par
toute la société, n’avait eu aucune réalité, sans quoi une carafe,
placée sur une table contre la paroi et dont le goulot dépassait
les bords de la fenêtre, eût été nécessairement renversée ou
cassée ; il y avait eu hallucination collective. Ce phénomène de
transmission de pensée, ou d’état émotif, constitue ce qu’on
appelle la télépathie. Bozzano, dans une étude parue dans les

Annales des sciences psychiques,
a exposé une série de faits qui
résument la question et en démontrent nettement la réalité. Il
est d’ailleurs facile à constater : Flammarion admet qu’une
personne sur vingt a eu l’occasion de vérifier un cas probant
de télépathie. N’avons-nous pas tous remarqué qu’à certains
jours on pense subitement à écrire à un ami et que notre lettre
se croise avec celle de l’ami : il y a eu télépathie.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:23

Toute image perçue se projette hors de
nous

Les travaux qui viennent d’être énumérés, conduisent à la
même conclusion, à savoir que toute image perçue est
finalement projetée hors de nous, ou, ce qui revient au même,
provoque un courant qui la transmet dans un sens indéfini. Le
savant remarque l’existence d’ondes de propagation aussitôt
après la formation de l’image ; le sensitif perçoit l’émission
d’un amas de substance lumineuse ou l’apparition d’un
courant fluidique ; l’observateur constate que, dans certaines
circonstances, il s’établit une corrélation entre le créateur d’une
forme pensée et une personne étrangère plus ou moins
lointaine. On en déduit cette conclusion remarquable que les
images étant causes ou effets de courants, permettent par leur
combinaison convenablement faite, de manier ces courants et
de provoquer des phénomènes psychiques anormaux. En
réalité, le cerveau fonctionne comme un appareil de
télégraphie sans fil, tantôt comme émetteur, tantôt comme
récepteur. Ce point de vue est contraire à l’opinion des anciens
psychologues, comme Taine, par exemple, qui, dans son
ouvrage sur l’Intelligence, professe que les images spontanées
ne peuvent provenir que de la mémoire, c’est-à-dire des
matériaux accumulés pendant le cours de l’existence. Cette
conclusion est trop absolue. Nos perceptions internes sont
formées la plupart du temps, il est vrai, avec nos souvenirs,
mais elles peuvent aussi bien résulter d’impressions
provoquées par le dehors et provenant de causes visibles ou
non, connues ou inconnues, opérant dans des conditions plus
ou moins occultes. En termes d’électricité, nous dirons que le
cerveau fonctionne, généralement, en circuit fermé, mais peut
encore fonctionner en circuit ouvert. Ce point est très
important, car il fait comprendre la possibilité des facultés
supra-normales.

Ce qui se passe dans le subconscient

En résumé, nous savons que certains excitants ou modes
d’énergie, comme la lumière, le son, les odeurs, agissant dans
des conditions convenables d’intensité et de contraste,
provoquent sur nous-même un état de conscience appelé
sensation. Cette sensation, une fois perçue, ne s’efface jamais
entièrement, elle peut reparaître, dans certains cas, sans que
l’excitant intervienne, mais alors elle renaît affaiblie ; c’est le
phénomène du souvenir. De même, un objet, un être, une
scène déterminent un agglomérat de sensations, soumis au
même processus de renaissance ; la réapparition de
l’agglomérat constitue précisément une image. La totalité de
nos sensations se fixe donc en nous-même et constitue ainsi
une sorte de magasin, qu’on appelle le subconscient. Mais
comme nos impressions sont, dans une certaine mesure,
communes à d’autres personnes, il en résulte que le
subconscient renferme, parmi nos souvenirs, des images qui se
retrouvent dans le subconscient d’une autre individualité. Par
affinité, ces images s’associent entre elles et constituent des fils
conducteurs qui permettent, occasionnellement, de puiser
dans le subconscient d’autrui. Nous pouvons donc dire que
ces magasins d’images ne sont pas hermétiquement clos, et
que si nous accédons plus facilement dans celui qui nous est
propre, nous pouvons néanmoins, dans certains cas, ouvrir la
porte de communication et pénétrer dans celui du voisin, puis,
gagnant de proche en proche, parvenir à visiter tel
subconscient qui nous attire.

Deux sortes d’images

Puisque le cerveau fonctionne comme émetteur et comme
récepteur d’ondes, il y a lieu de distinguer deux catégories
d’images : les images émises et les images reçues.
L’imagination étant le phénomène psychique déterminé par la
combinaison des images, il y a, par conséquent, deux sortes
d’imagination : l’imagination active et l’imagination passive.

Le rôle de l’imagination active

L’imagination active est la faculté de faire apparaître par la
volonté les représentations internes, de les associer suivant
une finalité ; c’est par elle que le littérateur construit ses
romans, l’artiste établit sa composition musicale ou son sujet
de peinture, le savant prépare ses travaux de laboratoire et
combine ses opérations mathématiques. Elle est la source de la
compréhension des phénomènes, de la création, de l’évolution
du Moi ; elle est la base du jugement, de la formation des idées
et d’un grand nombre de phénomènes mentaux.
L’imagination active embrasse tout un monde.

L’imagination passive conduit au supranormal

Si nous connaissions ses lois, et si nous savions les
appliquer, nous pourrions guérir nos maladies sans médecin
et sans médicament, transformer notre être et réaliser des
miracles. L’imagination passive, la seule dont nous ayons à
nous occuper, est un autre monde. C’est elle qui, par
l’utilisation de quelques-uns de ses éléments, va nous donner
les moyens de faire apparaître les facultés supra-normales. Elle
consiste dans l’apparition spontanée des images. Celles-ci
peuvent surgir d’elles-mêmes sous l’action de différentes
causes, en premier lieu par leur liaison naturelle, car toute
image tend à faire apparaître la série des images avec laquelle
elle est liée par contiguïté dans l’espace et dans le temps. Par
exemple, si aucun effort de volonté n’intervient, une pelouse
dans un jardin évoque le banc qui est à côté ; le souvenir d’un
incident dans une rue rappelle non seulement l’incident, mais
les actes qui en ont été la conséquence. Les images se réveillent
ainsi les unes les autres, de proche en proche, se groupent, en
raison de leurs intensités et de leurs affinités et constituent des
scènes plus ou moins cohérentes qui embrassent tout le champ
de la conscience, si aucun phénomène objectif n’intervient.
C’est ce qui se passe dans les rêves dont la cause principale est
le jeu de l’imagination passive.


Une autre cause de l’apparition spontanée des images est
fournie par la télépathie. Dans certaines conditions
psychiques, l’image émise par une personne étrangère nous
impressionne ; elle se mêle alors à nos propres images et crée
une liaison spontanée entre les deux subconscients. C’est la
raison d’être de certaines intuitions, de pressentiments, de
perception des ambiances, de cas de double vue, de
transmission de pensée et autres phénomènes anormaux.

Comment peut-on développer nos
facultés supra-normales ?

Ces préliminaires posés, nous pouvons maintenant
comprendre le principe qui permet de développer les facultés
supra-normales.
Il suffit de mettre le calme dans les pensées et
d’empêcher le jeu de l’imagination active, de manière à pouvoir isoler
une image ; de renforcer ensuite l’intensité de cette image pour la
chasser du subconscient ; puis de l’orienter en créant les associations
convenables.


Ces associations engendrent des courants qui
entraînent la conscience dans un domaine nouveau, dont la
nature dépend de l’orientation première de l’image. Autant
donc de modes possibles d’orientation, autant de genres de
perceptions et, par conséquent, de facultés nouvelles. Les
choses se passent comme si l’entrée du monde invisible était
fermée par une porte à multiples serrures, susceptibles de
s’ouvrir au moyen d’une seule clef, selon son inclinaison et son
degré de rotation. La porte est le cerveau, bloqué par les idées
personnelles ; la clef est l’image, qu’on oriente convenablement
par des mots concrets appropriés. Le principe, qui permet de
faire surgir les facultés supra-normales, est donc très simple et
à peu près infaillible. La simplicité est telle qu’on peut
s’étonner de ne pas voir les dites facultés plus répandues. La
raison en est dans le désordre et la confusion qui président, en
général, au fonctionnement de notre intelligence ; nous
embrouillons à plaisir le jeu de l’imagination active avec celui
de l’imagination passive et le chaos de nos idées ne laisse les
vibrations inaccoutumées et les fines vibrations pénétrer dans
le champ de notre conscience que fortuitement. Notre cerveau
est comme un grenier encombré d’objets disparates qui, par
leur mauvaise distribution, masquent la lucarne et empêchent
la vue sur le dehors ; ou encore, il est semblable à un garage
plein de véhicules qui circulent en tous sens et qui, se gênant
mutuellement, ne peuvent gagner la sortie que par l’effet du
hasard. Il suffit évidemment de ranger les objets du grenier
pour restituer à la lumière son passage, d’arrêter les véhicules
du garage momentanément, sauf un, pour laisser le dernier
sortir.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:27

L’expérimentation pratique

Nous venons de voir le principe qui sert de base au
développement des facultés supra-normales, examinons
maintenant en détail les moyens de l’appliquer. Prenons
comme sujet une personne de culture et d’évolution
moyennes, homme ou femme. Plus elle sera raffinée, meilleurs
seront les résultats ; plus elle sera grossière, plus le
développement sera difficile. Il suffira, pour arriver au succès,
qu’elle ait un peu d’imagination, et surtout qu’elle ne soit pas
entièrement absorbée par le terre à terre et les côtés mesquins
de la vie, ni uniquement subordonnée à ses intérêts personnels
; il faut encore, bien entendu, qu’elle ne soit ni malade, ni sous
le coup d’une émotion violente.


Ceci admis, en premier lieu on fait naître le calme en elle.
Pour cela, on opère dans une pièce demi-claire, avec un
assistant tout au plus, et encore ce dernier doit-il se retirer dans
le coin le plus éloigné et se garder de projeter ses pensées avec
trop d’intensité. On installe confortablement le sujet, on l’invite
à masquer ses yeux avec une main pour ne pas être gêné par
la lumière ; on l’aide à chasser ses préoccupations du moment
au moyen de contre-images, puis on le prie de se dégager de
toute pensée d’intérêt et de ne chercher dans la séance qu’une
possibilité d’évolution psychique plus haute.


On induit un mot

Dès que le calme est obtenu, on prononce nettement un
mot susceptible d’évoquer une image concrète, tel que vase,
bouquet, etc., après lui avoir demandé de préciser la sensation
éprouvée à l’audition du mot. Trois cas peuvent se présenter :
ou bien il ne se produit aucune impression, ou bien il survient
une réminiscence, ou bien il surgit une image inconnue.
L’absence d’impression indique nettement que le sujet n’a
pas su se débarrasser de ses soucis ou qu’il a une
préoccupation inconsciente ; en effet, le mot prononcé est une
onde vibratoire qui aurait dû faire naître des vibrations dans le
subconscient. Si celui-ci est resté neutre, puisque rien ne s’est
produit, c’est qu’il n’y a pas eu pénétration, le sujet s’est muré
et le mot a été renvoyé comme une balle par un obstacle. Alors,
on fait tomber la préoccupation, soit en prononçant une série
de mots différents, ce qui a pour effet de distraire le sujet de la
pensée qui l’absorbe, soit, si cela ne suffit pas, en faisant appel
au souvenir d’un objet familier : on provoque ainsi une
réminiscence et on retombe dans le second cas. Si ce procédé
est également impuissant, on a recours à l’imagination
créatrice en invitant le sujet à composer une représentation,
comme un bouquet, une petite scène ; comme nous avons
admis que celui-ci doit avoir un peu d’imagination, l’effet ne
peut manquer de se produire. La préoccupation est chassée et
la production d’images internes devient possible.


Dans le second cas, qui est le plus général, le mot prononcé
a déterminé une réminiscence : on émet alors une série de
mots en variant leur sonorité de leur nature. On passe, par
exemple, d’un mot signifiant une représentation d’eau, comme
un lac, à un autre indicateur de feu, ou de roches, ou d’un objet
concret. Au bout d’un temps généralement court, on fait surgir
une image inconnue et on tombe dans le troisième cas. Si les
réminiscences persistent quand même, cela indique que le
sujet se stabilise dans son subconscient, soit en raison d’un état
de fatigue, soit parce qu’il conserve encore quelques
préoccupations et n’est pas assez passif. Alors, on s’arrête sur
la réminiscence la plus complexe et on oblige le sujet à porter
son attention sur elle, en lui posant une série de questions sur
les détails et les à-côtés de cette réminiscence. Avec un peu de
patience, on arrive à faire surgir une image inconnue, ou
même une simple impression qui ne rappelle aucun souvenir ;
on insiste aussitôt sur cet élément inconnu, de manière à
retomber dans le troisième cas. Au besoin, on hâte l’apparition
de cette partie inconnue en faisant appel à l’imagination active
et en demandant au sujet de compléter la scène ou l’objet par
un peu de fantaisie ; on le décroche ainsi de la forme d’esprit
dans laquelle il se stabilise.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:30

Le seuil du subconscient

En réalité, la persistance des réminiscences est
exceptionnelle ; dans la plupart des cas, la personne, sous
l’effet des mots prononcés, retrouve à peine trois ou quatre
réminiscences, puis ne constate plus aucune impression. Cette
absence d’impression est l’indice, non qu’elle chasse le mot
comme au début du travail, mais qu’elle est sur le seuil de son
subconscient, et qu’elle va en sortir pour entrer dans la
troisième phase, celle des images inconnues. En effet, il suffit
de continuer l’émission des mots concrets pour provoquer
l’apparition d’images qui ne rappellent aucun souvenir. Par
exemple, le mot jardin fait surgir l’image de pelouses et de
fleurs dont la disposition donne l’impression d’être totalement
inconnue. Or, ceci n’est possible que dans deux cas : ou bien
l’image émane d’une source étrangère, et le sujet est sorti de
son subconscient ; ou bien la scène qui a provoqué
ultérieurement l’image est restée enfouie dans les profondeurs
du subconscient. Le sujet se trouve à la limite de celui-ci et est
prêt à en sortir. Si cette sortie tarde un peu, on la hâte par
l
’accrochage, c’est-à-dire qu’ayant fait surgir, par exemple,
l’image d’une allée de jardin ou d’une voiture, on invite le sujet
à se promener en imagination dans l’allée ou à monter dans la
voiture. Cette représentation de mouvement entraîne le
déroulement d’une succession d’images panoramiques
nécessairement inconnues et le résultat cherché est obtenu.
Cela provient de ce que, dans l’accrochage, la double
représentation intérieure de l’individu et de la scène évoquée
se confondent ; il y a subordination de l’une à l’autre et
entraînement fluidique ; l’expérience montre que l’accrochage
peut provoquer le sommeil somnambulique chez un sujet
prédisposé ; aussi ne doit-il être employé qu’à bon escient et
convient-il d’en surveiller attentivement les effets.
Dans les cas ordinaires, quelques mots suffisent pour
provoquer l’apparition de l’image spontanée, l’opération
durant cinq ou dix minutes à peine. Les mots doivent être bien
articulés, séparés entre eux par l’intervalle de temps nécessaire
au sujet pour analyser ses impressions, sans toutefois lui
laisser trop de répit, afin qu’il ne puisse s’égarer dans ses
propres images. Ils sont accompagnés de questions qu’on
multiplie de plus en plus, et qu’on pose sur la nature de
sensations éprouvées, de manière à obliger la personne à
s’analyser aussi subtilement que possible.


Comment doit se comporter l’opérateur

L’opérateur doit être lui-même parfaitement calme et se
dégager de toute idée préconçue, et même du souvenir de ses
propres expériences ; car il faut posséder une entière liberté
d’esprit pour percevoir les particularités inhérentes à chaque
sujet et dont il faut tenir compte dans l’application pratique du
principe qui sert de base au développement des facultés supranormales.
Certains mots conviennent mieux que d’autres ;
certaines inflexions de voix, certains temps hâtent l’apparition
de l’image inconnue. En restant neutre et attentif,
l’expérimentateur a non seulement l’intuition des mots les plus
favorables à dire, mais encore perçoit en quelque sorte l’état
psychique du sujet et en déduit des remarques inattendues et
fécondes. L’opérateur qui se montre nerveux, qui manque de
patience ou conserve des arrière-pensées, crée un courant
nuisible qui fausse les résultats et peut conduire l’expérience à
un échec certain.

Se dégager de l’influence de son
subconscient


L’apparition de l’image inconnue indique que la personne
commence à travailler en circuit ouvert, autrement dit qu’elle
est en mesure de projeter hors d’elle-même, directement, le
flocon fluidique qui constitue l’image, de se dégager de
l’influence de son subconscient et d’être sensible à des
vibrations émanées de sources extérieures. On obtient ce
dégagement définitif par concentration sur la dernière image
provoquée ; à cet effet, on questionne le sujet, en tous détails,
sur les caractéristiques de ce qu’il a vu ou entendu ; autrement
dit, s’il s’agit d’une perception visuelle, on lui demande de
décrire la forme des objets représentés, leur couleur, leur
situation respective, leur ambiance, le sens de la scène ; bref on
lui fait examiner toutes les nuances, comme si on voulait se
rendre compte aussi exactement que possible de la perception.
En réalité, ce procédé l’oblige à nourrir l’image de son propre
fluide, ou, si l’on préfère, intensifier sa vibration. L’image
envahit alors le champ de la conscience, s’éloigne du
subconscient, poussée en quelque sorte par les questions de
l’opérateur, et réveille sur son passage des vibrations
nouvelles qu’elle transmet à la conscience et qui se traduisent
sous forme de sensations ou de scènes inconnues. Toutefois,
cette concentration n’est possible que si l’image se maintient
dans le champ de la conscience. Or, au début et chez certaines
personnes, elle surgit comme un éclair et disparaît en ne
laissant qu’un souvenir fugitif.


On apprend au sujet à la fixer par le même procédé que pour la concentration,
c’est-à-dire qu’on l’invite à se rappeler l’image, puis on demande de la
préciser, et au besoin de compléter d’elle-même les détails
manquants, en notant l’impression rapide qui la traverse à
chaque question. Par exemple, si l’image a été celle d’une
voiture dont elle ne distinguait pas l’attelage, on lui dit : avezvous
la sensation qu’elle comporte un ou deux chevaux ?
Quelle est leur couleur à votre idée ? On change l’image dès
qu’on sent l’effort, et, au bout d’un temps très court, on obtient
le degré de fixité qu’on désire ; le cas contraire prouverait que
le sujet est en proie à des préoccupations qu’il faudrait chasser.
Le monde qui entoure le subconscient étant illimité,
l’image projetée par concentration voguerait au hasard, si on
ne prenait soin de l’orienter ; or, c’est précisément la nature de
cette orientation qui, comme nous l’avons déjà dit, va
déterminer telle ou telle faculté supra-normale. Le processus
qui vient d’être indiqué constitue la première phase du
développement ; celui de l’orientation forme la seconde phase.
La première est commune à toutes les facultés, nous n’aurons
plus à y revenir. La seconde varie, au contraire, avec chacune
d’elles et nous allons l’indiquer pour chaque cas.
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Message  Projectarea54 Dim 11 Jan 2009, 20:30

A suivre " LA VOYANCE " Prochainement
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